[Chili] Entraînement de Zeles

Shaira avait laissé son apprenti se reposer pendant le trajet. Dès qu'un seul de ses pieds serait posé à terre, c'en serait fini des siestes et des simples activités du Sanctuaire. La lionne avait déjà quelques idées à soumettre à son disciple afin de lui faire comprendre le poids du rôle de chevalier, mais aussi de faire jaillir son cosmos. Pour elle, c'était là la base même qu'il fallait inculquer à un futur chevalier, afin de le rendre responsable et apte. Elle ne se souvenait que trop bien de Fûryo, dont la formation avait été inachevée et qui s'était jeté dans la gueule du loup lors du tournoi organisé avec les dieux Chinois. Tournoi qui avait laissé une empreinte forte dans son esprit : on avait formé à la hâte des chevaliers, et ils étaient morts pour cela. Elle ne comptait pas commettre la même erreur avec Zeles, quelque soit l'issue de son entraînement.

Alors qu'elle se préparait à se lever en trombe de son siège pour rejoindre les WC une énième fois, on annonça le début de l'atterrissage. Attachant sa ceinture, elle invita son apprenti à en faire de même en le secouant légèrement.

" Zeles, nous arrivons. Attache-toi et tache de te réveiller suffisamment pour ne pas être trop engourdi. L'entraînement commence dès que nous quitterons l'aéroport. "

Se penchant pour regarder à travers le hublot, bien que cela lui donnait la nausée, Shaira aperçu les buildings à travers un épais brouillard. Dans ces capitales situées à très haute altitude, la pollution se ressentait bien plus que dans des villes de plaine.

Lorsqu'ils touchèrent le sol, elle poussa un soupir de soulagement, puis elle ajouta :

" L'un des plus anciens volcans explosifs du sud du Chili s'est réveillé aujourd'hui. Le gouvernement a débuté l'évacuation des civils, mais cela engendre un grand nombre de problèmes : la région est très pauvre et les dirigeants se sont longtemps désintéressés d'elle. La population perd le peu qu'elle a en quittant les villages, et visiblement une vingtaine de personnes refuse toujours de partir, malgré le danger de mort. Nous allons nous rendre là-bas rapidement. Et nous allons les aider. "

Le chevalier d'Or espérait que Zeles saurait répondre à ses attentes : prendre l'initiative, être sûr de soi, posséder cette compassion universelle dont doivent faire preuve tous les chevaliers. Car peu importe la force du cosmos, les valeurs que l'on défend permettront toujours de réaliser des miracles.

Une fois entrés dans l'aéroport, Shaira récupéra son précieux bagage ainsi que le peu d'affaires que Zeles avait embarqué avec lui. Elle ne perdit pas de temps et se dirigea immédiatement vers la sortie.

« Nous allons sauver des personnes qui ne souhaitent pas partir de chez elles, il va dons falloir les protéger de la lave en réduisant les pertes humaines et matérielles, nous allons sûrement rencontrer de nombreux problèmes, nous aurons sûrement une vue plus générale de la situation une fois sur place. A quelle distance nous trouvons nous de notre destination ? »

La Lionne ne prit pas le temps de réfléchir : d'ici on ne voyait pas la fumée s'élever, pourtant plusieurs millions de tonnes de particules sortaient en ce moment même du volcan et recouvraient les villages, habités ou non. Elle répondit donc brièvement à son apprenti :

" Environs mille kilomètres. "

Et elle s'élança à travers la foule et la pollution. Elle espérait que Zeles suivrait la cadence, car il était hors de question d'emprunter les moyens de transports : ils étaient lents et bondés, rien de mieux pour attirer l'attention et perdre du temps. Shaira n'avait peur que d'une chose : arriver trop tard. L'éruption devait déjà en être à un stade avancé. Elle prévint Zeles :

" Ecoute-moi bien. Tu vas devoir donner toutes tes forces maintenant. Dans 48 heures nous serons arrivés dans la province où se trouve le Chaiten. Les villages concernés par la population qui ne veut pas partir son assez éloignés du volcan. Mais quand la véritable catastrophe arrivera, ils ne seront pas épargnés. Ne parle pas trop, court plus vite."

Elle ferma un instant les yeux : tout dans le cosmos lui criait le désarroi de ces gens trop pauvres pour partir mais vivant avec la peur de mourir à chaque seconde. Si seulement Zeles pouvait lire cela, il comprendrait l'urgence de la situation. Mais le temps n'était pas encore venu. Elle jeta un dernier regard sur son apprenti et s'élança à toute allure vers l'une des sorties de la ville. Si elle était vaste, il ne faudra pas plus d'une heure de course acharnée pour en sortir. Il faudrait ensuite gravir les véritables sommets qui composent la cuvette dans laquelle s'établit Santiago de Chile, puis poursuivre à travers de vallons et des pics acérés. Evidemment, elle ne pourrait pas accorder de pauses trop longues, ni trop nombreuses.

[HJ : je compte sur toi pour me faire un magnifique post tout en narration pour la suite... ]

[hj : super mon plus grand rêve ... ]

1000 kilomètre de course a effectuer en 48 heures ... cela ne leurs faisait qu'une moyenne de 20 kilomètre par heure sur une terre abrupte et volcanique s'il n'eut était informer de la dureté d'un entraînement de chevalier il aurais sûrement rie au éclat, mais cela n'avais nullement l'aspect d'une blague car aussitôt les instruction prononcée par son maître eut-elle était prononcer qu'elle commença déjà cette course qui aller sûrement être la plus dur et la plus longue du fait du rythme imposée ...

il n'eut guère le temps de réfléchir a la faisabilité d'un telle effort qu'il dut s'élancer a son tour a la poursuite de Shaira de peur de ne s'égarer en chemin, n'ayant nullement récupérait de ses dernières blessures subit sur le parcours d'entraînement le combat qu'il allait mener aujourd'hui, sera d'ordre mental plutôt que physique, la douleur, la fatigue, la faim, la soif ainsi que tout les facteur extérieur telle la pluie ou la chaleur aller sens aucun doute être déterminant la première moitié de la cours aller sûrement être les plus facile mais après 24 heurs de course le corps ne réagi plus, l'esprit ce brouille, mais la vrais difficulté commencera quand ils seront arrivés sur place, s'il ce trouve trop diminuer par cette effort il se retrouvera être une gène quand il faudra réagir

toujours en courant ils sortirent de la ville pour arriver sur une montagne a pique descendre une telle montagne était sûrement fort difficile du moins quand on doit le faire tout en courant le chevalier ce trouver déjà a une certaine distance de lui, dans le but de la rattrapait au plus vite il passa en ligne droit sur la montagne sautant de pierre en pierre tentent au mieux de conservé sa vitesse et de préservée son énergie ainsi que son équilibre dans ce parcoure chaotique, a chaque saut sa précision diminuer il pouvait sentir sous ses pied la terre s'effritée le sol devenait de plus en plus terreux la bah de la montagne était proche, connaissant quelque peut les reliefs chilien il savait qu'il allait sûrement devoir très bientôt gravir une montagne les vallonnement de ce pays était ainsi fait de nombreuse montagne entourée le plus souvent par de géante rivière, courir 1000 km sur un chemin plat était certes quelque chose de difficile mais courir la même distance sur une route accidenté dans un temps aussi court relevée quasiment de l'impossible ...

les paysage défilés toujours plus merveilleux les uns que les autres de par le cotés sauvage et brute de la nature la fatigue se faisait de plus en plus ressentir heureusement les nombreux court d'eau de ce pays offrait un moyen rapide de rafraîchissement les rare arrêt qu'ils effectuaient était pour la plus par du temps consacrée a l'hydratation ou a l'alimentation, le sommeil quand a lui était une perte trop importante de temps, il dut sens passé pendant la quasi intégralité du voyage, l'approximation qu'il avais fait de sa fatigue au début du voyage lui paresser maintenant quelque peut erronée il rencontra son mur bien avant 24 heurs de course, cette impression d'implosion ne disparaissais pas bien que Shaira elle continuait de courir sen montrés aucun signe de fatigue, son endurance était impressionnante, combien de temps pouvais t'elle courir a cette vitesse ? Étai ce la encoure un prouesse de son cosmos on bien tout simplement un entraînement pousser a l'extrême? Les deux facteur était sûrement très importants, les possibilité qu'offrait un telle pouvoir paresser infinie, et ils affrontaient des ennemie ayant les même pouvoirs, le niveau dont il allait devoir ce rapprocher lui paresser encore infiniment loin .

Quand ils eurent courue plus des trois car du parcoure les nuage de fumée noirâtre commençait a apparaître les foules courant dans le sens opposée de leur chemin devenais de plus en plus nombreuse signe qu'il se rapprocher inexorablement de leur destination l'oxygène devenait de plus en plus irrespirable, la couleur rouge vif dont était tinter le sommet du volcan sembler ce durcir de plus en plus, les ancienne foret luxuriante n'était maintenant plus que cendre ou alors venez nourrie les immenses mur de feu que l'on pouvais voir a proximité, les quelque reste de végétation sembler vouée a disparaître dans les prochaines heures ce paysage sembler sortir tout droit d'un livre apocalyptique, le paysage ainsi remanier était devenu telle un tableau majestueux du fait de ses couleurs vive et enchanteresse, mais derrière cette magnificence de la nature ce cachait une réalité bien plus cruel, dans ce pays ci pauvre des personne avais aujourd'hui tout perdue et les quelques personnes ne se résignant pas a perdre ce qui pour eux représenter leurs seul réconfort avait choisie de rester protéger leurs bien de la nature elle même, ce groupe de 20 personne avait t'elle vraiment choisies de restaient de leurs plein gré on n'avais t'ils été contrains de par les fait, ils avaient eux le choix entre mourir ou mourir sauf que leurs plus grande chance de survie ne ce trouvée sûrement pas dans la fuite, pouvais t'ils vraiment tout recommençaient ? Tout ce qu'ils possédaient était probablement transmis de génération en génération, en fuyant ils auraient peut être trouvée refuge dans un des nombreux camps pour sinistrée et auraient alors probablement finit leurs vies dedans.

En y réfléchissant d'avantage il comprit que dans une situation similaire il aurait sûrement préférer risquer sa vie que de tout perdre aussi subitement par un caprice de la nature ...

le volcan était maintenant tout proche les coulée de lave ce faisait de plus en plus nombreuse au travers de leur chemin le village ne devait maintenant plus être très loin maintenant une épaisse pluie de cendre tomber tout autour d'eux maintenant, la fin de cette course effrénée était proche, il espérait juste qu'ils ne soient pas trop tard ...

Shaira était fière de Zeles : elle n'avait autorisé que trois pauses, pour boire et se restaurer, et s'il courrait désormais à une vingtaine de mètres derrière elle, il tenait bon. Cela prouvait à quel point l'entraînement fourni au Sanctuaire était efficace. Il ne leur restait maintenant que quelques kilomètres à parcourir, et déjà la désolation envahissait leur champ de vue. La Lionne espérait de tout son coeur que la Nature retiendrait ses foudres encore quelques temps, assez pour laisser à Zeles le temps de s'occuper des civils.

Ils arrivèrent rapidement en vue des villages les plus lointains, et alors Shaira sentait que ses muscles commençaient sérieusement à travailler. Pensant à son apprenti, elle stoppa sa course pour marcher. Il ne fallait pas s'arrêter complètement, ou alors jamais ils ne repartiraient. Il semblait que ce village avait été totalement vidé de ses habitants. Par ici une bicyclette d'enfant, par là un vase en terre d'où avait certainement disparues les denrées vitales d'une famille.

Devant eux, le volcan crachait son poison. Déjà les flancs de la redoutable montagne s'étaient brisés, il ne faudrait pas beaucoup de temps avant qu'il n'explose. Un peu de lave s'échappait des fissures. La végétation était encore luxuriante, mais mourante. Et elle ne serait pas la seule à périr dans cette catastrophe. Hâtant le pas sans pour autant courir de nouveau, Shaira dit à son apprenti :

" D'après ce que j'ai appris, les villageois dont le sentiment à rester ici est le plus fort sont évidemment ceux dont les habitations sont assez éloignées. Je dirais un périmètre qui englobe le village où nous nous trouvons, jusqu'à 10 kilomètres vers le volcan. Tu vas faire le tour côté ouest. Ne t'approche pas de la montagne, ne bois pas d'eau courante, n'y entre pas. Couvre ton visage afin de ne pas respirer les poussières. Ramène toutes les personnes que tu rencontreras. Ne laisse aucun villageois derrière toi. "

Une fois que ce fut dit, la Lionne confia à son apprenti l'outre d'eau qu'elle avait emmenée avec elle pour le trajet : elle n'en aurait pas besoin. Elle lui donna aussi plusieurs poches en tissu remplies de nourriture. Nul besoin d'ajouter que c'était avant tout pour les villageois, et non pour Zeles. Puis le chevalier fit un signe de main à son apprenti et parti au pas de course vers l'est. Ce ne fut qu'une fois loin qu'elle ajouta :

" Je t'attendrais ici avec ceux que j'aurais trouvé ! Demain soir nous partirons avec eux ! "

Puis elles disparut dans la forêt en berne.

Une fois arrivée sur les lieux la cadence ralentis enfin, le corps parcourue de douleur insupportable, la respiration haletante, il ne se trouvait certes pas au mieux de sa forme, l'air sembler être saturée de poussière rendant la respiration difficile, ils marchaient maintenant à une vitesse raisonnable bien que tout de même hâtive, le paysage devenue grisâtre du fait de la pluie continuelle de cendre rendait ce tableau, qui de loin pouvait paraître enchanteur mais qui une fois approcher prenait un tout autre visage celui de la désolation, tout y était gris, les chemin, les cours d'eau, les arbres, les maisons ainsi que tout autre chose ce trouvant dans le périmètre du volcan.

Ils arrivèrent bientôt dans un village ou tout leurs criée désolation, les balançoire bougeant encore soue l'effet du vent les vélo d'enfant jonchant le sol les quelque poupée de chiffon jonchant le sol montré toute la tristesse d'une ville abandonner, bien que le départ des villageois fut très ressent, l'ont auraient put croire qu'il s'agissait la d'une ville fantôme ou ils étaient les premier a fouler depuis de nombreuse année ...

" D'après ce que j'ai appris, les villageois dont le sentiment à rester ici est le plus fort sont évidemment ceux dont les habitations sont assez éloignées. Je dirais un périmètre qui englobe le village où nous nous trouvons, jusqu'à 10 kilomètres vers le volcan. Tu vas faire le tour côté ouest. Ne t'approche pas de la montagne, ne bois pas d'eau courante, n'y entre pas. Couvre ton visage afin de ne pas respirer les poussières. Ramène toutes les personnes que tu rencontreras. Ne laisse aucun villageois derrière toi. "

les ordres étaient clair, retrouvé au plus vite tout le monde, s'assurait qu'ils n'ont aucune blessure grave, s'occupait des blesser s'ils sont trop nombreux pour être touts transporter, recueillir des information sur les autres villageois qui se trouveraient eux aussi bloquée et sur le nombres précis de personne ce trouvant ici, Shaira lui confia quelque vivre qui serait sûrement très utile pour aidé les personnes les plus faible; il possédait déjà sur lui le matériel de premier secoure quelque bandage et autre désinfectant, il sortie sur les conseil de son maître un mouchoir noir lui permettant de ce fabriquer un masque de fortune, il la remercia pour ses conseil d'un hochement de tête , elle partie aussi tôt en direction de l'est lui criant de ce retrouver demain soir ici même,

il partie a son tour dans la direction opposée a la recherche de survivant les trouvé ne serais par facile il pouvait ce trouvée n'importe ou, il décida de commençait par visiter les campement environnant bien que probablement ils ne se trouveront plus, il était possible que certain sois quand même restaient... Le premier camps qu'il trouva avait été déserter, ses occupant avais sûrement préféraient fuir, une sage décision, en continuant son chemin il découvrir plusieurs camps de la même sorte eu aussi abandonnée, quelque heures c'était déjà écoulée mais il n'avait toujours pas trouvé de survivant; il tout en courant il réfléchit aux différents endroit ou aurais put trouvé refuge les survivant, il y avait plusieurs possibilité mais la plus probable était qu'ils eurent pris de la hauteur pour ce protégée des coulée de lave, il y avais deux points surélevait dans le périmètre Zeles ce dirigea verre le plus proche, prendre de la hauteur n'était certainement pas l'idée la plus sage mais elle était la plus évidente pour des personne ne connaissant pas les différent état d'un volcan,

En arrivant au sommet de la première colline il trouva dans une petite caverne cinq personne deux femme et trois hommes dont l'un allongé sur le sol toussant, il avait sûrement du être asphyxier par les cendre, voyant ces personnes totalement démunie il ce dirigea vers celui qui se trouvait le plus proche de l'entrée et sembler être le plus âgés,

« Je m'appelle Zeles, je suis la pour vous aidée, j'ai de la nourriture, de l'eau et de quoi soigniez votre blessé je peut aussi vous emmenez en lieu sur, savez vous s'il y a d'autre personne qui sont eux aussi bloquer ? »

le regard des villageois aprés s'être illuminer à l'annonce de l'arrivée d'un secoure qu'elle qu'il sois c'était aussi tôt refermer montrant alors de la tristesse l'homme a qui il c'était présenter lui dit

« nous étions neuf au départ quatre d'entre nous son déjà partie »

l'expression sur son visage montré qu'il n'était malheureusement les seuls encore en vie dans cette endroit, Zeles ce dirigea verre le blesser et lui fit d'abord avaler de l'eau qu'il dut de suite recracher pour le nettoyer le plus possible des cendre qu'il avait absorber il lui fit manger quelque provision que lui avait confier Shaira et en donna aussi au quatre autre personne après avoir sommairement soigner le blesser qui commencer a reprendre son souffle il demanda s'il y avait d'autre survivant dans à proximité mais on lui répondit qu'ils étaient les seuls à avoir voulue rester sur place de ce coter si de la montagne, il prit le temps d'expliquer la situation :

« Nous devons rejoindre le point de ralliement pour vous maître en sûretés et pouvoirs prodiguer des soins correct a cette homme, nous devons partir au plus vite je porterai le blésés nous somme a environs un heure et demie de marche de notre destination, en marchant vite nous pouvons y être en une heure couvraient vous la bouche grave à des tissu humide et faite attention au cendre brûlante sur le sol, si vous sentez que vous n'en pouvez plus dite le moi on fera une pose. Avez vous des question »

il marqua un temps d'arrêt et reprie

« bien nous devons maintenant partir au plus vite ne prenez que le stricte minimum sur vous et n'oubliés pas de vous couvrir le visage »

il s'accroupit pour être au niveau du blesser qui ne pouvait apparemment pas marcher il lui expliqua la situation et l'aida a monter sur son dot avant de se retournée verre les quatre autre,

« Nous partons dépêcher vous ne me perdais pas de vue »

Zeles partie en direction du village par ou ils étaient arrivés, tout le monde marcher épaule contre épaule comme si le monde pouvais s'écroulait à tout instant les ensevelissant en même temps; la marche fut difficile la pluie de cendre c'était intensifier la visibilité était presque nul, les chutes furent fréquente ralentissant a chaque fois la marche le temps initial fut dépasser avant même la moitié du chemin parcourue du fait d'une blessure d'une des deux femme qui en glissant sur un tas de cendre c'était tordue la cheville de plus l'homme qu'il transportait sembler aller de moins en moins bien, il trouvèrent une petite grotte pour ce reposés quelques heures ce qui permit a tout le monde de manger quelque peut et de boire a nouveau dans de telle condition l'hydratation du corps est primordial, leurs accordant 2 heures de sommeil du fait de leurs nette avance sur l'horaire.

Pendant que touts dormaient paisiblement Zeles surveiller toujours les horizon guettant toute détérioration de la situation le calme régnant n'était perturber que par le bruit de cendre tombant sur le sol quand tout a coup, ce silence démoniaque fut interrompue par des pleures lointaines, il sortit quelque instant de la grotte pour vérifier si ce son n'était pas sortie tout droit de son esprit, mais ces pleures ne sembler pas disparaître il courue alors en direction de ces pleurs il parcourue deux kilomètres avant d'arrivée devant une tente recouverte de cendre dans la quelle ce trouvée une enfant qui pleurée a chaud de larme et toussant en même temps probablement elle aussi intoxiquer par les cendres,

Zeles la prit dans ces bars et retourna aussi vite qu'il le pouvait a la grotte ou il avait laisser les médicament et les vivre grâce à sa vitesse il ne mis que quelque minutes a rejoindre leurs campement une fois arrivé sur place une des deux femme était réveiller quand elle le vue revenir avec la fillette elle accourue verre lui pour aller l'aider a l'installer par terre et lui donnée les premier soin malheureusement ils ne leurs restaient que très peut d'eau ils devaient donc rejoindre au plus vite le point de ralliement il réussi tout de même a calmer sa toue, il réveilla tout le monde les deux heures était maintenant écoulée et il était grand temps de repartir il reprit sur son dot l'homme toujours inconscient et confia la fillette a la femme qui était venue la soigniez,

Zeles pressent le pat aussi vite que pouvais supporter ces personne déjà fortement affaiblies souhaiter pouvoir finir le trajet en moins d'une heures pour ainsi au plus vite prodiguer des soins correcte au blesser une fois sur place ils pourront enfin ce reposer mais pour le moment ils devaient eu aussi faire de leurs mieux. Ils ne se trouvaient maintenant plus cas un kilomètres de leurs destination quand ils apprirent cette nouvelle leurs motivation revinrent il était enfin arrivés à destination, une fois ce dernier kilomètres parcourue ils s'abritaient dans un maison en dur pour pouvoir attendre Shaira en sécurité et pouvoir allonger les blesser afin qu'ils préservent leurs force, elle ne devait elle non plus tarder a revenir avec il l'espérait avec de nombreux survivant

Il fallut à Zeles beaucoup de temps pour revenir, mais ce fut son maître qui arriva la dernière. Quelques heures après le sauvetage réussi de l'apprenti, Shaira fut elle aussi de retour. Elle transportait sur son dos un vieillard qui avait l'air mal en point, ainsi qu'un bébé dans un linge enroulé autour de sa taille et de son coup. Derrière elle, on trainait blessés, intoxiqués et autres horreurs. Le chevalier lui-même avait déposé sa Cloth Box sur un charriot de fortune qu'elle tirait, et l'armure d'Or du Lion scintillait sur sa protégée.

Il ne lui avait pas été facile de convaincre les habitants de dégager la zone avant l'explosion du cratère : le premier village dans lequel elle était arrivée n'avait pas du tout été évacué et les chiliens ne comptaient pas lui rendre la tâche facile. Heureusement avait-elle pensé à revêtir son armure d'Or, et grâce à elle, Shaira avait pu convaincre les villageois de la suivre. Mais que faisaient donc les serviteurs des dieux andins ? La Lionne pensait en rencontrer quelques uns mais il semblait qu'ils jouaient aux abonnés absents.

Elle avait trouvé des personnes gravement asphyxiées par les cendres, d'autres que l'envie d'eau avait trahie et qui, désormais, ne pouvaient plus laisser leurs jambes, leur mains ou leur visage à l'air, des morts, des blessés très grave lors de l'inflammation de zones de végétation. Et tous ces gens ne voulaient pas partir. Le chevalier comprenait leur position : c'était la mort en luttant ou la mort en mendiant sur les trottoirs de Santiago. La plus digne ne serait pas forcément la meilleure, mais elle semblait leur convenir...Heureusement, Shaira avait fait preuve de persuasion et guidait désormais les habitants vers le village où l'attendait son apprenti.

Elle constata rapidement qu'il avait bien accompli son travail. Beaucoup de civils l'accompagnaient. Cependant rien ne permettait de dire qu'ils accepteraient d'aller plus loin : ce village était assez éloigné du volcan, ils penseraient certainement qu'on les avait assez mis en sécurité. D'ailleurs la mère vint récupérer l'enfant qui dormait contre l'armure d'Or du Lion. Elle remercia le chevalier puis ajouta :

" Vous nous avez sauvés. Nous n'oublierons pas. Nos dieux nous mettaient à l'épreuve, mais ils sont cruels. Vous êtes la compassion. Nous pouvons maintenant nous débrouiller. "

Pourtant, pensa Shaira, rien ne les sauverait ici non plus. Elle s'approcha de Zeles en lui souriant, satisfaite : pour un chevalier d'Or, nul besoin de protection contre les fumées mortelles, et c'est ainsi qu'elle avait ramené la population à bon port. Elle invita ensuite les habitants à s'approcher d'elle et pria Athéna de lui accorder le charisme nécessaire à son opération :

" Nous sommes arrivés au point de ralliement que j'avais désigné. S'il est loin du volcan, vous n'êtes pas sauvés pour autant. Vos dieux vous mettent à l'épreuve, mais peut-être suis-je moi aussi l'un de leurs pions...Alors, je suis moi-même un choix qu'ils vous proposent. Allez-vous rester ici et mourir, ou suivre la providence et nous suivre, mon apprenti et moi, vers des terres moins hostiles ? "

Elle entendit quelqu'un prendre Zeles à parti dans la foule :

" Nous sommes tous des pions des Dieux ! Pour qui vous prenez-vous ? "

Elle laissa son apprenti répondre, espérant qu'il se débrouillerait pour convaincre l'homme de la réalité de leur message. Elle songea un instant à Shakkya : lui n'aurait eu aucun problème pour ramener les villageois jusqu'à un lieu de sûreté. La Lionne n'était pas aussi douée que son confrère pour réaliser de tel exploit. Elle ne manquait pas de véhémence, mais plutôt de confiance et de douceur. Tout cela faisait partie de la chaleur du cosmos du Bélier.

Elle se força à penser à l'instant présent et porta son attention sur Zeles qui allait répondre au chilien.

La réponse de l'apprenti ne se fit pas attendre. Il fut concis et calma d'entrée de jeu le chilien. Peut être le chevalier du Lion avait-elle quelque peu exagéré ses propos en faisant appel aux croyances locales, mais cela avait marché la première fois, elle aurait voulu les convaincre une seconde fois de cette manière douce.

« Veuillez nous excuser si nos paroles vous semblent démesurées, mais la situation étant à un point tellement critique qu'il est maintenant nécessaire d'exprimer un choix clair sur vos intentions, souhaitez-vous être secourus ou demeurez vous sur votre choix de rester malgré le danger ici, vous devez être conscient que la vie de certains d'entre vous a été mise en danger par votre attitude négligente, bien que certain ce soient retrouvés piégés d'autres on choisit de rester. Nous ne pouvons protéger que ceux qui souhaitent être sauvés. »

Shaira fut grandement satisfaite de Zeles. Et alors que les murmures s'insinuaient parmi la populace, certains déjà décidèrent de suivre les deux envoyés du Sanctuaire. Pourtant la majorité restait réellement remontée contre eux. La Lionne espérait ne pas avoir à faire de démonstration de force pour les obliger à vivre. Les paroles de son disciple étaient pourtant claires, mais la peur de l'inconnu et de l'oubli forçait ces gens à vouloir rester sur leurs terres. Elle ajouta alors :

" Vos terres seront dévastées, certes, mais ce sera éphémère : la nature reprendra ses droits et vous pourrez à nouveau venir vous installer ici lorsque la colère du volcan sera apaisée. Vous n'avez rien ici, qui ne justifie votre mort. Je décrète que vous tous allez bénéficier d'une aide financière et une assistance pour rester dans la ville la plus proche jusqu'à ce que vous puissiez reconstruire vos vies ici. "

Et ce disant, son cosmos dégagea une aura d'une confiance, d'une loyauté imparable.

Shaira vit que son intervention n'était pas utile à la décision des habitants. Elle leur offrait ce qui leur fallait pour vivre, pourtant ils restaient attachés à leurs terres. Elle ne pouvait comprendre un tel comportement, mais s'imaginait assez bien à leur place. La prestance et l'autorité d'un Lion n'était pas de recours ici. Elle décida donc d'adoucir ses pensées et de chercher une solution subsidiaire. Il ne faudrait pas longtemps avant qu'ils ne périssent tous. Elle pouvait les protéger, mais pas éternellement, et il s'agissait ici non pas d'une mission du Sanctuaire mais de l'entraînement d'un apprenti. C'est alors qu'elle eut une idée. Cependant, Zeles vint s'adresser discrètement à elle avant qu'elle n'ait pu la développer :

« Excusez-moi, mais agir de la sorte ne nous facilite pas vraiment les chose, je veux bien comprendre que vous soyez de nature impulsive mais là, ils viennent de tout perdre, beaucoup de leurs proches sont morts et leur futur n'est nullement assuré, nous somme habitués à endurer des conditions extrêmes de survie mais ici les femmes les enfants et la plus part des hommes sont morts de fatigue, nous comptons pratiquement autant de blessés que de valides, pensez-vous que leur donner des ordres dans un moment de torture psychologique soit une bonne chose ? Il ne s'agit pas ici de soldats entraînés mais de simple paysans ne connaissant sûrement pas les chevaliers... »

Shaira fut surprise de l'altercation de son élève, et se retint de le remettre à sa place d'une façon plus colérique qu'elle ne l'aurait souhaité. Elle lui répondit simplement :

" Je ne leur ai pas donné d'ordre. Je ne vois pas où tu as vu que je me permettais de commander à des êtres humains. Là est la tâche des dieux. J'ai seulement assuré à ceux qui doutaient qu'ils recouvreraient leurs biens une fois les caprices de la Nature calmés. Ceux d'entre eux qui ne veulent pas me suivre ne seront pas forcés à le faire. Il ne faut jamais influencer le libre-arbitre de l'Homme, car c'est la seule chose qui le différentie de la bête. Ensuite, mon cher apprenti...Tu ne sais rien des conditions extrêmes. Tu es déjà épuisé ? Il ne s'agit là que du crépuscule de ta deuxième journée d'entraînement. Et qu'as-tu fait qui justifie une telle fatigue physique ? Penses-tu pouvoir éveiller ton cosmos alors que ton corps, au bout d'un simple effort est déjà dépassé ? Tout est dans l'esprit. Ce qui paralyse ces gens, c'est la peur du futur et de l'inconnu. Mais je ne suis pas là pour leur faire la leçon, c'est à toi que je donne un cours. Et puisque tu tiens tant que cela à faire preuve de pitié envers eux - ce qui, pour moi, est un manque de respect à leur égard - tu vas rester avec ceux qui ne veulent pas partir. Moi je guiderai les autres. "

Elle répéta à haute voix, afin que les villageois entendent, ce qu'elle avait demandé à son apprenti. Certains chiliens furent rapidement à ses côtés, alors qu'elle s'avançait sur le chemin de terre qui s'éloignait du hameau. Un tiers cependant, selon leurs prévisions, resta stoïque devant le mouvement et s'agglutinèrent autour de Zeles. Leur visage était ferme, pourtant le doute se lisait dans leur regard. Shaira aurait voulu à cet instant qu'une intervention divine les fasse changer d'avis, mais effaça cette pensée : là n'était pas la justice dont faisait preuve les divinités. Au loin, le volcan gronda en lâchant de nouvelles voûtes de fumée noire. Si Zeles ne parvenait pas à enflammer son cosmos pour protéger ces gens, alors ils mourraient tous asphyxiés. C'est pourquoi le chevalier d'Or, aidant les familles où un membre était blessé, tirant certains malades et portant des enfants épuisés ne se retourna plus pour regarder son apprenti. Leur survie était entre ses mains.